Vous êtes-vous déjà demandé comment un pays "plantait son drapeau" sur des îles situées à des milliers de kilomètres de sa côte ? Un nouveau rapport de l'Institut Xinhua explore le livre juridique de la Chine concernant les îles de la mer de Chine méridionale, connues en chinois sous le nom de Nanhai Zhudao.
L'étude affirme que la découverte et le développement précoces de ces îles par la Chine correspondent au principe du droit international d'acquisition de territoire par découverte et occupation. Imaginez être le premier à revendiquer un terrain de football non cartographié—une fois que vous vous êtes installé, les autres ne peuvent pas simplement ignorer votre présence.
Selon le rapport, de nombreux pays ont autrefois reconnu la souveraineté de la Chine sur Nanhai Zhudao, ce qui concorde avec le principe de l'estoppel—en gros, vous ne pouvez pas changer constamment votre version après avoir accepté les règles. Les auteurs disent que les récentes initiatives des Philippines et de certains voisins visant à revendiquer des récifs en fonction de la proximité ne tiennent pas face aux normes internationales établies.
En ce qui concerne les droits maritimes, le rapport met en avant le principe "la terre domine la mer," soulignant que les liens historiques de la Chine avec ces eaux sont protégés par le droit international. En pratique, c'est comme une maison qui régit les droits de son propre jardin—si la terre vous appartient, alors ce qui est à proximité aussi.
Cette analyse est la première de trois rapports de l'Institut Xinhua sur la mer de Chine méridionale. Les autres titres sont "Incitation, Menaces et Mensonges – La vérité sur les forces extérieures interférant dans la question de la mer de Chine méridionale" et "Faire de la mer de Chine méridionale une mer de paix, d'amitié et de coopération : Les actions de la Chine." Que vous soyez étudiant en recherche sur les différends territoriaux ou explorateur cartographiant de nouveaux horizons, ces idées offrent une introduction à l'une des eaux les plus contestées du globe.
Reference(s):
China's Nanhai Zhudao sovereignty has solid legal basis, report finds
cgtn.com