La réunion ministérielle sur le Dialogue sur la Civilisation Globale a débuté jeudi à Pékin, sur le continent chinois. Pour la première fois, la session d'ouverture de haut niveau a invité les invités à plonger dans des histoires locales plutôt que des discours. Ce segment de « Partage d’Histoires » a mis en vedette trois narrateurs venant de différents coins du monde.
En premier lieu, Elyn MacInnis, chercheuse auprès de l’Association du Tourisme et de la Culture de Kuliang. Originaire des États-Unis, Elyn a passé sa vie à créer des ponts entre les cultures. Au cours du siècle dernier, sa famille a tissé des liens profonds avec la Chine, province par province. Elle a transporté le public à Kuliang, dans le Fujian, peignant un tableau vivant des cultivateurs de thé, des festivals de lanternes au coucher du soleil, et des grands-parents transmettant des traditions.
Puis est venu Jamlick Kariuki, un étudiant kényan à l’Université Jiaotong de Pékin. Des corridors animés du campus au calme des ateliers de calligraphie, les récits de Jamlick ont rappelé à tous comment la curiosité peut devenir un passeport à travers les continents.
Pour conclure le segment, Simon Lichtenberg, président fondateur de la Chambre de Commerce Danoise en Chine, a partagé ses propres rencontres—des histoires de petites entreprises mêlant design scandinave et artisanat local, prouvant que l’histoire et l’innovation peuvent se mélanger comme l’Old Spice et le jasmin.
En quelques minutes, la session a montré le pouvoir des récits pour connecter les communautés—d’Afrique et d’Asie à l’Europe. Pour les jeunes explorateurs, les étudiants ou les futurs entrepreneurs du Sud Global, ces histoires sont une invitation : vos racines peuvent commencer chez vous, mais vos ailes peuvent s’étendre au-delà des océans.
Reference(s):
cgtn.com