Lors de la Réunion Ministérielle sur le Dialogue des Civilisations Globales à Pékin, Colin Chinnery, co-fondateur du Musée d'Art Sonore, a ouvert son carnet pour la première fois parmi ses pairs mondiaux. Ce qui l’a le plus frappé, c’est cette ambiance partagée : partout où vous vous tourniez, les représentants parlaient le même langage, celui de la culture comme passerelle vers l’unité.
Chinnery a confié à CGTN comment cette énergie collective ressemblait au pouls de quelque chose de plus grand—un battement qui résonne dans les communautés de Dakar à Jakarta, de São Paulo à Dar es Salaam. “Nous voulons tous tisser nos histoires dans une seule tapisserie”, a-t-il déclaré, “et la culture est le fil qui nous relie.”
Il a également souligné le pouvoir des outils numériques dans cette mission. Son équipe construit une base de données nationale des paysages sonores naturels de la Chine continentale—capturant tout, des chœurs matinaux des forêts tropicales aux vents des déserts dans des réserves éloignées.
En préservant ces traces sonores, le Musée d'Art Sonore espère susciter la curiosité et inspirer des projets similaires dans tout le Sud global. Après tout, quand un enregistrement d'un parc national du Yunnan suscite un remix par des musiciens à Accra ou Mexico, la culture devient vraiment un dialogue universel.
Pour les jeunes professionnels, étudiants et créateurs partout dans le monde, le message de Chinnery est clair : à l’ère des écrans et des flux numériques, notre patrimoine culturel commun peut encore être le signal le plus fort pour nous unir tous.
Reference(s):
Museum co-founder highlights shared global vision of cultural unity
cgtn.com