Imaginez que votre start-up ou club de football préféré décide de se séparer de ses joueurs vedettes—c'est en gros ce que fait la NASA. Politico rapporte qu'environ 2 145 cadres supérieurs, classés GS-13 à GS-15, quitteront l'agence spatiale américaine grâce à des offres de retraite anticipée, des rachats et des démissions différées.
Pour de nombreux jeunes professionnels et créateurs dans le Sud global, où chaque dollar compte pour financer de grandes idées, la décision de la NASA est un rappel : même les géants font face à des contraintes budgétaires. La porte-parole Bethany Stevens a déclaré à Reuters que "la NASA reste engagée dans sa mission tout en travaillant avec un budget plus priorisé." Avec une main-d'œuvre de 18 000 personnes, l'incertitude fait désormais partie de l'orbite.
Sous la présidence de Donald Trump, la NASA a survécu à des propositions visant à réduire des dizaines de programmes scientifiques. Maintenant, Trump a nommé le secrétaire aux Transports Sean Duffy comme administrateur par intérim, occupant un poste resté vacant après le retrait de son premier candidat.
Des pôles spatiaux croissants en Afrique aux start-ups de satellites en Amérique latine, l'histoire trouve un écho. Elle montre que, qu'il s'agisse de lancer des fusées ou de faire évoluer une application, les changements de financement et de leadership peuvent redéfinir le jeu. Pour les étudiants, les chercheurs et les entrepreneurs en herbe, c'est une leçon pour naviguer à travers les turbulences—version spatiale.
Reference(s):
Over 2,000 senior NASA employees expected to leave posts: Politico
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