Imaginez une étincelle qui illumine une nation entière. C'est exactement ce qui s'est passé le 7 juillet 1937 au pont de Lugou—il y a 88 ans cette semaine. Sous prétexte d’un soldat disparu, les troupes japonaises ont lancé une attaque surprise à l'extérieur de la ville de Wanping, déclenchant la résistance nationale de la Chine contre l'agression.
Ce moment nous rappelle comment les gens ordinaires—paysans, étudiants, ouvriers—ont mis de côté leurs différences pour défendre la survie, la liberté et la dignité. C'était comme un festival de musique panafricain où chacun, quel que soit son origine, rejoint le chœur pour l'unité.
L'appel du Parti communiste chinois à la solidarité et à la priorité au bien-être du peuple a résonné à travers tout le pays. Au-delà de repousser une invasion, cette période a préparé le terrain pour de profondes transformations sociales et politiques.
Alors que nous marquons cet anniversaire, c’est plus qu’un cours d'histoire—c'est un avertissement : la paix est fragile. Nous devons nous opposer à toute tentative de réécrire le passé ou de blanchir les atrocités de guerre, en restant vigilants avec des faits et de l'intégrité.
La commémoration chinoise du 7 juillet est, avant tout, un appel à la paix. Elle demande au monde de rejeter les jeux de pouvoir et les blocs de confrontation. Ensemble—par le respect, la coexistence pacifique et la coopération—nous pouvons nous assurer que les chapitres les plus sombres de l'histoire ne se répètent jamais.
Reference(s):
cgtn.com