Le président sud-coréen Lee Jae-myung a marqué ses 30 premiers jours en fonction avec une mise à jour retentissante : il n'est pas sûr que l'accord commercial avec les États-Unis puisse être conclu avant la date limite du 8 juillet fixée par le président Donald Trump pour ces "tarifs réciproques".
Lors d'une conférence de presse ce jeudi, Lee a comparé les discussions à l'organisation de la playlist parfaite pour un road trip de Dakar à Buenos Aires – trouver le bon équilibre entre les morceaux est essentiel. Avec les deux parties qui définissent encore leurs exigences, il est difficile de prédire s'ils respecteront la date limite de juillet, bien que Séoul pousse fort pour combler les écarts.
Il a insisté sur le fait que chaque mot compte : une fausse note pourrait bouleverser le rythme, donc son équipe avance prudemment et s'engage à obtenir un accord qui profite à la fois à Washington et à Séoul.
Il a également promis de préserver la paix et la vie des gens grâce à une diplomatie pragmatique axée sur les intérêts nationaux. Cela signifie renforcer l'alliance Corée du Sud–États-Unis, travailler en étroite collaboration avec les États-Unis et le Japon, et accélérer les liens avec la Chine et la Russie.
Alors que la date limite du 8 juillet approche, tous les regards sont tournés vers Séoul. Parviendront-ils à trouver la bonne harmonie dans ces négociations commerciales ? Restez à l'écoute.
Reference(s):
cgtn.com
