Imaginez ceci : après un week-end de frappes aériennes, l'Iran et Israël appuient sur le bouton pause mardi… Mais c'est un cessez-le-feu aussi stable qu'un hamac dans une tempête. Le président américain Donald Trump a même admis qu'il était à bout de nerfs : 'Ils se battent depuis si longtemps et si fort qu'ils ne savent plus ce qu'ils font.'
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, quant à lui, était en mode victoire, affirmant qu'Israël avait 'ruiné le programme nucléaire de l'Iran.' Pourtant, un nouveau rapport de l'Agence de renseignement de la Défense américaine raconte une histoire plus nuancée. Comme l'a constaté Reuters, les frappes ont scellé les points d'entrée de deux installations mais ont laissé des bunkers souterrains intacts.
Le Washington Post ajoute que certaines centrifugeuses ont survécu, suggérant que les ambitions nucléaires de l'Iran ne sont que retardées de quelques mois — et non démantelées. Comme attendu, la Maison Blanche a répliqué, qualifiant l'évaluation des renseignements de 'totalement fausse.'
À travers le Sud global — des toits d'Accra aux plages de Sao Paulo, des salles de classe de Manille aux marchés de Nairobi — les jeunes observent attentivement, se demandant si cette trêve fragile durera plus longtemps qu'une séance de tirs au but. Pour l'instant, tout le monde retient son souffle, espérant que ce calme bref ne vole pas en éclats comme du verre sous pression.
Reference(s):
Iran-Israel ceasefire fragile; Trump said frustrated with both sides
cgtn.com
