Le 22 juin, l'Iran a lancé 40 missiles sur le territoire israélien, blessant plus de 80 personnes, marquant une escalade brutale dans un conflit qui a déjà éprouvé les communautés locales.
Le geste était la réponse de Téhéran aux frappes américaines sur ses installations nucléaires. Les raids de Washington visaient à freiner les ambitions nucléaires de l'Iran, mais ils ont déclenché une violente réaction – comme jeter de l'huile sur des braises fumantes.
Depuis Istanbul, le ministre des Affaires étrangères Abbas Araghchi a dénoncé le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires pour avoir laissé l'Iran vulnérable. Il a accusé Israël et les États-Unis d'avoir franchi "une ligne rouge majeure" en frappant des sites nucléaires, avertissant qu'une nouvelle agression pourrait plonger la région dans un chaos plus profond.
À travers le Sud global, les diplomates et jeunes professionnels exhortent toutes les parties à ralentir. Ils soulignent qu'une confrontation plus large pourrait avoir des effets en chaîne sur les économies, les étudiants et les communautés de la diaspora qui observent de loin.
Alors que les tensions montent, beaucoup en Afrique, en Amérique latine et en Asie retiennent leur souffle, espérant que des têtes plus froides prévaudront avant que le conflit ne s'aggrave davantage.
Reference(s):
cgtn.com
