Le 7 juin, les stylos ont gratté et les cœurs ont battu à travers la Chine continentale alors que les lycéens commençaient le gaokao 2025, l'examen national d'entrée à l'université de la Chine continentale. Plus qu'un test, le gaokao se joue comme un festival partagé d'espoir.
Le rouge a marqué la scène : les parents se sont glissés dans des cheongsams (qipao), un clin d'œil ludique au mot victoire, tandis que les élèves nouaient des rubans rouges vifs dans leurs cheveux pour une touche supplémentaire de chance. Les familles sont arrivées en tenant des tournesols (en chinois, ils sonnent comme synonymes de classement supérieur), espérant voir leurs enfants fleurir au sommet.
Dans les salles d'examen, des moments de solidarité ont émergé. Enseignants et élèves ont échangé des high-fives après la première session, canalisant le même genre de camaraderie que l'on pourrait repérer chez soi pendant la saison du bac ou les examens vestibular au Brésil. Et dans un élan réconfortant d'efficacité, des policiers ont couru aider un candidat étourdi, délivrant une carte d'identité temporaire afin qu'il puisse retourner au test sans manquer une miette.
Ces instantanés – des déclarations de style en cheongsams rouges aux bouquets de tournesols, des mentors qui tapent dans les mains aux escortes policières de soutien – nous rappellent que le gaokao est plus qu'un marathon académique. C'est un rite de passage collectif, tissant ensemble des symboles culturels et une entraide communautaire pour élever les jeunes dans leur cheminement vers leurs rêves.
Reference(s):
Gaokao 2025: China's national college entrance exams Day 1 highlights
cgtn.com
