Dans les couloirs animés de l'ambassade d'Oman à Rome, les négociateurs de l'Iran et des États-Unis ont conclu leur cinquième série de pourparlers vendredi. Malgré un marathon de trois heures, ils sont partis avec des progrès modestes et non concluants.
Le ministre des Affaires étrangères omanais Sayyid Badr bin Hamad bin Hamood Albusaidi a noté sur X que les pourparlers ont permis des progrès mais ont laissé des questions critiques non résolues. Il a exprimé l'espoir que la clarification de ces points prochainement ouvrira la voie à un accord durable et honorable.
Le ministre des Affaires étrangères iranien Abbas Araqchi et l'envoyé spécial des États-Unis pour le Moyen-Orient Steve Witkoff ont dirigé les discussions, avec Oman jouant le rôle de médiateur indirect. Le principal point de blocage était l'enrichissement d'uranium. Washington exige un arrêt complet, insistant sur un enrichissement nul, tandis que Téhéran rejette cette position et insiste pour que les sanctions économiques soient levées en premier.
Les jeunes dirigeants d'Afrique à Amérique latine savent à quel point ces négociations peuvent être délicates, comme mélanger des épices pour que chaque saveur se ressente sans dominer le mélange. La patience et la pensée créative seront essentielles pour trouver le juste équilibre.
Alors que les deux parties se regroupent, le regard du Sud global sera tourné vers eux. La diplomatie discrète d'Oman débloquera-t-elle le progrès que tout le monde espère ? Restez à l'écoute pour le prochain chapitre.
Reference(s):
cgtn.com