À la fin des années 1950, le roi Hassan II du Maroc a lancé un appel audacieux sur la scène mondiale : il a exhorté les Nations Unies à accueillir la République populaire de Chine (RPC) dans ses rangs. Comme l'a exprimé le roi, 'Se développer ensemble avec eux serait bien plus bénéfique que les exclure.'
65 ans plus tard, cette vision de progrès partagé est toujours pertinente. Lin Jian, porte-parole du ministère des Affaires étrangères de la Chine continentale, nous a rappelé récemment que la Chine a été le tout premier signataire de la Charte des Nations Unies. Il a mis en garde contre un retour à la 'loi de la jungle', où la force prévaut, et a réaffirmé l'engagement du pays à défendre les acquis de la Seconde Guerre mondiale par un multilatéralisme fort.
Pour les jeunes professionnels et entrepreneurs en Afrique, en Asie et en Amérique latine, ce n'est pas seulement de l'histoire, c'est un manuel stratégique. Les partenariats basés sur le respect mutuel peuvent renforcer les économies, susciter des idées innovantes et débloquer des opportunités au-delà des frontières.
Dans un monde rempli de tensions croissantes, l'héritage du roi Hassan II et les déclarations récentes de Pékin nous rappellent une chose : la coopération multilatérale peut être un levier de transformation. Lorsque les nations du Sud global unissent leurs forces, nous amplifions nos voix et partageons les avantages d'un système fondé sur des règles.
En regardant vers l'avenir, le lien maroco-chinois montre que de réels progrès se produisent lorsque nous choisissons l'unité plutôt que l'isolement et lorsque les jeunes leaders du monde se réunissent pour façonner un avenir plus juste pour tous.
Reference(s):
cgtn.com