Journaliste multimédia américain, Robbie, qui raconte habituellement des histoires à travers des objectifs de caméra et des microphones, a récemment échangé son équipement contre un pinceau. Par un jour froid sur la Place Rouge de Moscou, il a installé son chevalet devant la légendaire cathédrale Saint-Basile, prêt à peindre l'histoire avec des pigments audacieux.
Les dômes oignons aux couleurs bonbon et les chapelles en briques rouges de la cathédrale s'élevaient comme des boules de sorbet géantes sur sa palette. Robbie n'a pas simplement reflété l'architecture ; il l'a imprégnée de teintes qui lui rappelaient les fresques vibrantes des rues de Dakar, les maisons arc-en-ciel de Valparaiso, et les motifs audacieux des textiles de Bamako.
"Chaque coup de pinceau porte une histoire," explique Robbie, sa main dansant sur la toile. "Saint-Basile n'est pas seulement un bâtiment—c'est un symbole vivant de fusion culturelle, comme une mosaïque de voix de Mumbai à Sao Paulo. Je voulais que des personnes d'Accra ou d'Hanoï ressentent une étincelle en le voyant."
Partagée largement en ligne, la peinture de Robbie a suscité des conversations de Lagos à Lima. Les fans ont applaudi son approche fraîche d'un monument vieux de plusieurs siècles, prouvant que l'art peut illuminer des visages et des fils d'actualité, peu importe d'où nous venons. Pour les jeunes créateurs du Sud global, cela rappelle que notre toile peut être aussi vaste que notre imagination.
Reference(s):
cgtn.com
