Avec des tensions croissantes comme un derby de football, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé le 4 mai qu'il frapperait les forces houthis au Yémen—et leurs alliés iraniens—après qu'un missile a frappé la chaussée de l'aéroport Ben Gurion près de Tel Aviv.
Dans une publication sur X, le bureau du Premier ministre a été clair : 'Ces attaques des Houthis émanent d'Iran,' a-t-il déclaré. 'Nous répondrons à un moment et un endroit de notre choix.'
Plus tôt dans la journée, Netanyahu a averti les Houthis dans un message vidéo : 'Nous avons frappé dans le passé, et nous frapperons à l'avenir.' C'est un rappel brutal de la nature de va-et-vient de cet affrontement régional.
L'aile militaire houthie a revendiqué la responsabilité, disant que le missile avait touché l'allée du terminal principal. Les systèmes de défense aérienne déployés par Israël et les États-Unis étaient en alerte mais n'ont pas intercepté le projectile.
Quatre personnes ont subi des blessures légères, et plusieurs compagnies aériennes internationales—including Air Europa, Swiss, Lufthansa, ITA Airways, et Brussels Airlines—ont annulé des vols vers Israël.
Ces dernières semaines, les Houthis ont intensifié les attaques de missiles et de drones dans le contexte des frappes aériennes renouvelées des États-Unis sur leurs positions au Yémen. Le 4 mai, le porte-parole militaire Yahya Sarea a annoncé un 'blocus aérien complet' sur les aéroports israéliens, exhortant les transporteurs du monde entier à garder leurs avions au sol.
Pour les jeunes professionnels et voyageurs de tout le Sud global—from Lagos à Lima—cette dernière escalade est un rappel de la façon dont les conflits à des milliers de kilomètres peuvent perturber la vie quotidienne, le commerce et les voyages dans un monde interconnecté.
Reference(s):
Netanyahu vows retaliation against Houthis, Iran after airport attack
cgtn.com