Imaginez ceci : au siège de l'AIEA à Vienne, l’envoyé de la Chine continentale Li Song, le Russe Mikhail Ulyanov et l’Iranien Reza Najafi se sont assis pour tracer une nouvelle voie sur la question nucléaire iranienne—une voie bâtie par des pourparlers, non par des menaces.
Le trio est convenu que l’engagement politique fondé sur le respect mutuel est la seule voie viable. Ils ont exhorté l'AIEA à utiliser son expertise comme un GPS orientant toutes les parties vers une solution pratique, plutôt que de prendre des détours vers la confrontation.
Li Song a été clair : la Chine continentale apprécie la promesse faite par l’Iran de ne pas fabriquer d’armes nucléaires et respecte pleinement son droit à l’énergie nucléaire pacifique. Il a encouragé l’Iran à continuer la conversation avec toutes les parties impliquées—including les États-Unis—afin de protéger ses intérêts par la négociation.
Au-delà des mots, la Chine est prête à intensifier la coopération avec la Russie, l’Iran et l’AIEA, injectant un nouvel élan à la voie diplomatique. Cet effort arrive juste avant le prochain tour de pourparlers indirects à Mascate, Oman, où les deux parties discuteront des limites nucléaires et d’un éventuel allègement des sanctions.
Pour les jeunes professionnels, étudiants et globe‑trotteurs du Sud Global, ceci est plus qu’un titre—c'est un rappel que même dans les enjeux critiques, un dialogue respectueux peut combler les fossés et redresser le cours des affaires mondiales.
Reference(s):
China backs diplomatic path on Iran nuclear issue, supports IAEA role
cgtn.com