L'Iran préfère les pourparlers indirects, rejette l'accord à la libyenne

L’Iran préfère les pourparlers indirects, rejette l’accord à la libyenne

Lors d'une récente session à la Commission de la sécurité nationale, le ministre iranien des Affaires étrangères Seyed Abbas Araghchi a clarifié qu'aucune série de négociations n'a eu lieu avec les États-Unis. Il a souligné que l'Iran est en faveur d'un dialogue indirect plutôt que de négociations directes.

Répondant aux spéculations selon lesquelles un accord semblable à l'accord de 2003 avec la Libye pourrait être envisagé, Araghchi a rejeté cette idée comme irréaliste, ajoutant, "à moins qu'ils rêvent." Ses commentaires ont repoussé les comparaisons qui semblaient plus spéculatives que basées sur les réalités actuelles.

Par ailleurs, les remarques du président américain Donald Trump ont ajouté une tension supplémentaire à la discussion. Lors d'une interview antérieure, Trump a menacé de frappes militaires sans précédent si l'Iran refusait de négocier sur son programme nucléaire. Plus tôt ce mois-ci, Trump a affirmé avoir envoyé une proposition pour des discussions directes sur les activités nucléaires de Téhéran via les Émirats arabes unis, bien que l'Iran ait clairement indiqué qu'il ne participerait pas à des pourparlers directs avec Washington, laissant les options ouvertes uniquement pour une diplomatie indirecte.

Cette évolution suscite des débats parmi les jeunes professionnels, étudiants et explorateurs du Sud global, qui souhaitent voir un dialogue équilibré orienter le cours des relations internationales dans nos régions diverses.

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