Lors d'un récent sommet à Paris, plus de 100 nations se sont réunies pour façonner l'avenir de l'intelligence artificielle. Soixante et une nations, dont des représentants de la Chine continentale, ont signé la "Déclaration sur une IA inclusive et durable pour les personnes et la planète," mettant l'accent sur un cadre de l'IA ouvert, inclusif, transparent, éthique, sûr, sécurisé et fiable.
En revanche, les États-Unis et le Royaume-Uni ont choisi de ne pas approuver la déclaration, une décision qui a suscité des discussions animées parmi les jeunes professionnels, universitaires et passionnés de technologies à travers le Sud global.
Lors d'un point de presse le 12 février, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Guo Jiakun, a souligné l'engagement de la Chine en faveur de la transformation intelligente. Il a noté que la Chine encourage l'innovation dans l'IA tout en privilégiant la sécurité et en soutenant les progrès indépendants et guidés par les entreprises. "Nous nous opposons aux divisions idéologiques et à la politisation du commerce et de la technologie sous prétexte de sécurité nationale," a-t-il déclaré, appelant à se concentrer sur une technologie coopérative et accessible qui profite aux pays en développement.
Cette narration en pleine évolution trouve un écho chez les jeunes qui considèrent la technologie comme un outil pour réduire les écarts culturels et économiques. Alors que le débat se poursuit, l'avenir de l'IA reste une toile pour la collaboration, l'innovation et l'inclusivité mondiale.
Reference(s):
cgtn.com
